#MeTooHopital
Après le cinéma, c’est à l’hôpital que les langues se délient et qu’il faut que les oreilles se tendent. Tout est parti de l’infectiologue Karine Lacombe qui accuse l’urgentiste Patrick Pelloux de harcèlement moral et sexuel. Et cela s’est transformé en un dévoilement de l’enfer de l’hôpital où le sexisme le plus inadmissible semble faire partie d’une culture immuable. « Grivoiseries », selon ses thuriféraires. Dans ce monde à la hiérarchie stricte où la maladie et la mort hantent les couloirs, il est grand temps de réfléchir aux voies et moyens pour amorcer une transformation émancipatrice de l’hôpital.
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Marre de voir, pour désigner les lâches qui harcèlent les femmes, les traiter de « porcs ».
« balance ton porc », « le porc du jour », et autres formulations stupides.
Le porc est un animal intelligent, propre (contrairement à ce qu’on dit de lui), plein de compassion et d’empathie. En plus, il adore dormir et manger des pommes de terre, ce qui me le rend très sympa.
Puisque ce sont des HUMAINS males les coupables, autant les désigner pour ce qu’ils sont !
« balance ton harceleur/violeur/lourdingue/macho », selon la gravité des faits.
Et lâchons un peu ces pauvres animaux innocents, qui ont envie de nous répondre « ras la soue !! » Un homme anti-viol et ami des cochons.
Tout à fait d accord , balance ton…….. serait mieux que porc