Procès Mazan : le féminisme au présent — Censure du gouvernement : pressions et intimidations

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Comme chaque semaine, le débrief politique par Catherine Tricot et Pablo Pillaud-Vivien.

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1 commentaire

  1. HLB le 27 novembre 2024 à 17:21

    Cette horrible histoire de Gisèle Pélicot est un symptôme alarmant pour une société humaine. ça ne concerne pas que les féministes, ou même que les femmes dans leur ensemble. Toute la société est impactée et doit réagir le plus unitairement possible. Les femmes évidemment, puisqu’elles en sont les principales victimes. Mais aussi les hommes, sur lesquels une minorité d’entre eux, par leurs agissements, jettent le discrédit sur l’ensemble. On peut comprendre que des femmes, à force d’expériences décevantes, ou, pire, douloureuses, aient une tentation de repli entre elles.
    Mais que serait une société de partition, scindée en 2 blocs non-mixtes ?
    Celles et ceux qui côtoient des milieux (privés, professionnels) où prédomine un sexe, peuvent en témoigner: on s’enrichit mutuellement, sur divers plans (affectif, intellectuel), bien plus quand la mixité est présente. Souvent, on s’ennuie ferme, lorsque l’équilibre est absent !
    Entièrement d’accord avec Catherine: il y a urgence à ce qu’un maximum d’ hommes prennent leur part, encore bien trop marginale, dans ce combat pour l’égalité totale femmes-hommes. Et, au delà, pour le rapport qu’on a à l’autre, car ce problème particulier n’est qu’un aspect d’une question bien plus globale. Les pseudo « valeurs » élitistes, truffées de stéréotypes arriérés, qui sont la base du système libéral-capitaliste, en sont en grande partie responsables !

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