Sondage Regards-Harris : la gauche peut gagner en 2027
Dans quelle configuration l’union de la gauche lui permet-elle d’atteindre le second tour de la présidentielle ?
En 2027, la gauche peut-elle être une alternative crédible au macronisme et à l’extrême droite ? Dans ce moment peu réjouissant de divisions et de tensions à gauche, alors que chaque jour nous tombent sur la tête des dingueries toujours plus à droite, on a voulu en avoir le cœur net.
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Bien sûr, un sondage n’est pas prédictif d’un résultat, encore moins à deux ans d’une élection dans ce monde si bouleversé. Au-delà du cadre général, les acteurs ne sont pas connus. Nous avons donc pris le parti d’interroger des Français de gauche sur la base des étiquettes de parti. Nous en mesurons les limites : une campagne, c’est un projet, un programme, un rassemblement de forces et un.e candidat.e. Rien de tout cela n’est en place. Les sondés le savent aussi bien que nous tous : leurs réponses dessinent pourtant des attentes voire des exigences.
Nous avons voulu tester trois configurations à gauche, en excluant la plus folle, celle d’une totale atomisation des partis : autant de candidats que de chapelles. Nous avons donc fait trois hypothèses d’alliance à gauche avec en face une configuration précise : une candidature RN et les petits bateaux de l’extrême droite + un candidat LR qui rêve de croquer un peu de l’électorat RN libéré par l’absence de Marine Le Pen + une candidature des macronistes (sûrement Gabriel Attal ou Édouard Philippe). Cette configuration détermine le niveau de suffrages à rassembler pour atteindre le second tour : nous la croyons à ce jour hautement probable. Par ailleurs, nous avons conservé l’hypothèse d’une candidature d’extrême gauche (LO).
Sans surprise, c’est une candidature de la gauche rassemblée qui obtient le meilleur score : 26%. Elle est alors qualifiée au second tour.
Nous avons testé deux configurations d’alliance en plus de celle de l’unité : une qui rassemblerait PS-PCF-EELV, LFI faisant cavalier seul ; une autre rassemblant LFI-PCF-EELV, le PS faisant cavalier seul. Ces deux hypothèses ne sont pas sorties de nos cerveaux créatifs : elles sont bel et bien dans le débat du moment. Dans le premier cas, LFI seule ferait 8%, le reste de la gauche rassemblée atteindrait 20%. Dans le second, le PS seul ferait 13% et le reste de la gauche rassemblée 16%.
Au-delà des hypothèses de vote, deux questions complétaient cette enquête qui mesuraient le désir d’union. C’est confirmé : il est extrêmement puissant à gauche, où 8 sympathisants sur 10 souhaitent cette union.
Quels enseignements en tirer ? La candidature unique n’est pas la seule hypothèse pour permettre à la gauche d’accéder au second tour. Si l’ensemble des forces de gauche hors LFI se met d’accord sur un candidat, un projet, un programme, elle peut être crédible et réussir la primaire sauvage que serait le premier tour de la présidentielle. La crédibilité politique de cette hypothèse est loin d’être établie : comment réunir dans une même proposition propulsive à la fois François Ruffin et Raphaël Glucksmann ? Autre bémol, le sondage teste LFI et pas Jean-Luc Mélenchon : nul n’ignore le potentiel d’entraînement électoral du triple candidat à la présidentielle.
Dans l’hypothèse d’une candidature socialiste autonome, les 13% qui leur sont crédités confirment que le PS n’a pas disparu mais reste limité par son bilan et son absence de projet alternatif. Les 16% crédités au rassemblement LFI-PCF-EELV est dans l’étiage de la gauche d’alternative depuis maintenant de nombreuses années.
Au-delà des hypothèses de vote, deux questions complétaient cette enquête qui mesuraient le désir d’union. C’est confirmé : il est extrêmement puissant à gauche, où 8 sympathisants sur 10 souhaitent cette union. Les dissensions politiques ne sont pas ignorées mais les sympathisants de gauche qu’elles soient surmontées ou relativisées. La volonté d’une gauche qui compte ne s’est pas érodée malgré les efforts répétés de nombreux acteurs politiques. La responsabilité de trouver un chemin pour l’accession au second tour et la victoire en 2027 est immense. Il faut travailler aux convergences, aux modes de désignation et… go !
Sans union la gauche observera encore le duel droite extrême droite.
le PS prend un risque majeur en excluant systématiquement LFI de la gauche , après avoir fait confiance au gouvernement Bayrou.
Et dire qu’on va avoir droit à ces bêtises et hypothéses pendant les deux ans qui restent avant la présidentielle !! un peu plus de 1000 personnes qui représentent la France et les Français (mais qui sont t’ils pour avoir cet honneur) un sondage issu de l’institut Harris et donc un sondeur, un tricheur, un arrangeur et en plus sur un site comme Regards qui n’est pas très regardant en réalité sur leurs amitiés. Bref, pour moi, de la daube journalistique, mais j’aime bien y venir de temps à autre, rien que pour voir la déliquescence de ce journalisme qui reste encore un peu de gauche, heureusement…..mais hélas avec des idées bien bizarres parfois.
Cette daube journalistique n’est rien à côté des déjections des petits trolls qui viennent faire leurs petits besoins dans le petit coin des commentaires, en service commandé ou par incontinence.
Le PS est, mais sans l’avouer, dans un processus de regroupement de forces politiques qui ont en commun plusieurs caractéristiques (liste non exhaustive):
-ne surtout pas remettre en cause le libéralisme et ses variantes (ultra, ordo, néo….)
-culture de la « dette », pour légitimer tous les renoncements sociaux, humains, environnementaux….
-soutien sans faille à l’UE actuelle, qui a déjà réduit la Grèce à la misère (merci, Moscovici….PS !)
-soutien à la mondialisation, à grands coups d’accords de libre-échange, climaticides et destructeurs des droits humains, et des êtres vivants en général
-soutien indéfectible à Israël, sentinelle de ce projet dans sa zone géographique
On retrouve, sur ces bases:
-la sphère de la Macronie, ramassis d’ex-PS et d’ex-LR, « officiellement Jupitériens »
-LR et proches
-et, donc, le PS et ses satellites, dont la seule différenciation, par rapport aux autres, clairement de droite décomplexée, serait de mettre un vague vernis « social » sur des mesures de casse systématique de tout ce qui fait société. Rendre le cadeau (empoisonné) présentable, au premier abord, pour rassurer et amadouer l’électorat.
Donc, le PS n’a rien à faire de la gauche, ni d’une quelconque union de ses composantes . Pour lui, cette page est tournée depuis longtemps. Il déclare donc la FI infréquentable, pour justifier un futur et officiel ralliement au cartel de ceux dont l’intérêt est de préserver le capitalisme….
Inversement, on pourrait dire que LFI prend un risque majeur en surjouant ses désaccords avec le PS et Mélenchon en souhaitant qu’on se rallie à son panache rouge (plus ou moins rouge, d’ailleurs) en courbant l’échine…
question: est-ce que pour les Français LFI se résume à Mélanchon – Bompart – Penot? Si oui, on est mal.
MélEnchon, BomparD, PAnot. 3 mots=3 fautes ! Comme vous dites: « on est mal » !
Vous distinguez plusieurs scénarios possibles pour en dégager au moins un qui soit efficace électoralement. C’est l’union bien sûr de tous les partis de gauche. Mais vous ne détaillez pas les différents cas de figure possibles à droite : il pourrait y avoir là aussi, l’union de tous les partis de droite. Rien ne l’interdit. Votre étude pour être complète devrait l’envisager. Nul doute que ce serait là aussi le scénario le plus efficace. Et le plus clair, donc le plus sain, pour la démocratie : la gauche contre la droite.
On sait bien que vous militez depuis toujours pour l’union de la droite et de l’extrême droite.
Et on se demande pourquoi vous venez répéter ça en boucle dans les commentaires de Regards…
Vous cherchez à convaincre des gens ici ?
Sérieusement ?
En téléchargeant le pdf du sondage, on lit à propos des sympathisants LFI et EELV, en pages 7 et 8 : « *Base de répondants faible, les résultats sont à lire avec précaution. »
Vous serait-il possible de communiquer les données brutes de ce sondage, afin de comprendre à quel point un « redressement » a été fait par l’institut Harris à propos de LFI et EELV ? En page 7, on apprend que 99 % des sondés sympathisants LFI seraient pour la candidature commune. Chiffre étonnant. Plus loin, page 13, on lit qu’en cas de candidature de « gauche » hors LFI, la France Insoumise ferait 8 %, contre 20 % pour la candidature autour du PS. Les autres instituts donnant actuellement LFI autour de 12 %, l’union capterait donc 50 % des potentiels électeurs LFI. Ou plutôt, 50 % d’une « base de répondants faible ».
Si on regarde le scénario où le PS part seul, il ferait 13 %, soit 1 point de plus que le meilleur score qu’on lui a vu jusqu’alors. C’est fou : on peut quasiment en conclure qu’en cas d’union sans le PS ce dernier ne perdrait aucun électeur. LFI perd la moitié de ses électeurs en cas d’union sans Insoumis, et le PS en perd zéro si nous partons sans lui. C’est très surprenant.
Enfin, serait-il possible d’avoir les termes du partenariat entre Regards et l’institut Harris ? Vous a-t-il offert ce sondage ou est-ce une commande ?
Nous voilà au coeur du problème: tout sondage doit être abordé avec nos outils d’autodéfense intellectuelle, mis à notre service par Baillargeon ily a plus de 10 ans et renforcés depuis par plusieurs activistes linguisticiens, notamment dans un numéro spécial de socialter. Quand nous déciderons nous à cesser de prendre les lanternes pour des vessies?
C’est fou !!!
Vous faites le travail d’une espèce en voie de disparition : les journalistes !!
Il ne reste plus que des propagandistes ou des représentants de commerce.
Comment régler le problème de confiance dans le PS, toujours plus complaisant avec la droite, et toujours plus dissident sur le programme du NFP et à rejeter LFI de ses accords ?
Parce que j’avais perdu confiance en la gauche avec le dernier président du PS, le NFP m’a réconcilié avec le mouvement Victoires populaires et la dissention du PS avec le NFP en faveur du gouvernement Bayrou a rouvert la plaie.
Perso, je penche de plus en plus à l’extrème gauche et l’exclusion du PS me rassurerait, et je pense (alors il faut analyser, faire des sondages) que leur départ réconcilierait beaucoup d’électeur’ices abstensionnistes.
Les dépenses publiques sont hors de contrôle; elles acculent chaque année l’ Etat à emprunter des centaines de milliards et plongent la France dans une spirale d’ endettement qui n’ a plus de fond. Mettre un frein à l’ immigration, juguler l’ afflux des populations étrangères est une urgence qui ne dépend plus de notre pouvoir. Ce qui était hier encore une menace est aujourd’hui le fléau qui anéantit l’ économie de notre pays pour lequel la redistribution nationale du budget ne veut plus rien dire.
La France qui travaille générait la puissance économique de la France; une France où règne l’ assistanat systématique organisé par l’ Etat, où triomphe l’ omniprésence du trafic de stupéfiants qui gangrène tout le panel social de notre population; une France où chaque année 140 000 automobiles sont volées; une France où le cambriolage à grande échelle a conquis tout le territoire; une France enfin, où, chacun d’ entre nous, peut se voir, en cas d’ absence de chez lui, désemparé de sa maison par des étrangers en mal de toit, cette France est une France où l’ économie parallèle de la délinquance généralisée fait la loi, concurrence l’ Etat, le contraint au recul pour le plonger dans la faillite économique, la faillite de l’ autorité, la faillite de sa société. Rétablir l’ autorité de l’ Etat c’ est rétablir l’ Etat. Cette urgence d’ autorité nécessite le retour à notre souveraineté nationale, parce que la France soumise à la souveraineté des institutions de Bruxelles rend abouliques et impuissants ceux qui nous gouvernent. La lente déliquescence du parti présidentiel est en marche; cette dilution permettra le rétablissement des deux grandes forces politiques essentielles et complémentaires de notre République pour retrouver l’ unité nationale indispensable à une confrontation parlementaire productive. L’ espoir du retour à une grande gauche peut, demain, être la réalité, lorsque cette gauche aura remis de l’ ordre dans ses rangs et banni, définitivement, ses extrêmes.
Bruno Retailleau au ministère de l’ Intérieur est d’ores et déjà un homme de très grande valeur pour la droite; qui n’ a d’ autre volonté que sortir la France de son impotence face à l’ immigration. Quelle ardeur mais aussi quelle démonstration de ce que peut la volonté et la détermination quand elles veulent agir, quand elles veulent infléchir les évènements pour recréer les conditions d’ une politique Française. Si Bruno Retailleau est l’ homme de la reconstruction de la droite française, alors il sera capable de rallier à cette droite la multitude partie à l’ extrême droite ou dans le clan présidentiel, mais aussi tous ceux là qui gémissent qu’ il n’y a plus d’ Etat en France.
Voilà tout ce pourquoi je crois à la France et ni aux sondages Harris, ni à la gauche en 2027. Nous devons croire en la France si nous, les Français, redevenons libres de choisir la voie et le destin de la France. Nous ne perdrons pas la France si nous refusons d’ avoir partie liée à la folie d’ une politique européenne, dictatoriale et technocrate, que la majorité d’ entre nous n’ approuvons pas. La Constitution que Charles de Gaulle a léguée à la France donne aux Français le pouvoir d’ être consultés à n’ importe quel moment. Rien ne donnait le droit au double mandataire présidentiel, imbu d’ ambition personnelle pour l’ Europe, d’ imposer aux français son chantage indigne d’ un véritable chef de l’ Etat: « L’ extrême droite ou nous », reflet de la politique qu’ il exerce en France, dont l’ esprit démocratique est absent, et qu’ il projette de conduire à la présidence de la Commission Européenne.
Que la gauche travaille à redevenir grande. Que la droite Française redevienne puissante, puissante de ses principes forts; de cette puissance dont l’ absence fait du président son impuissance.
Max Régnier. Villeneuve de la Raho
Max Régnier. Aniche
Lol. Vous vous êtes perdu ?
C’est Regards ici, pas le JDD.
Vous vous souvenez de JL Trintignant dans « le Conformiste », qui pousse le conformisme jusqu’au crime sans même un accroc.
Et de la nouvelle « l’enfance d’un chef » dans « le Mur » de Sartre, brave graçon qui se laisse pousser la moustache pour enfin pouvoir penser comme un homme, un vrai, un fasciste ?
Ca me vient comme ça en vous lisant.
Grande misère de la réflexion politique.
Seule la gauche unie, sans exclusive et avec un programme clair peut renverser la coalition des droites, de l’extrême droite soutenue par le CAC 40 et le Medef. C’est mathématique et vrai dans tous les cas de figure. Celles et ceux qui refusent le rassemblement et l’union font le jeu de la droite et de l’extrême droite, ils peuvent inventer toutes les raisons et tous les prétextes, sans mobilisation unitaire, la France basculera…
vous commencez votre campagne anti LFI et Mélenchon !!!! nous n’avons vraiment pas la même conception de « la gauche » !!!
Et oui, faut bien sauver Ruffin qui se devient de plus en plus ps-compatible voir très roussellistte dans ses « délires » parfois et dans son discours ou comportement (hélas, je l’aimais bien mais il me déçoit) et qui d’autres à part Fakir ou Regards pourrait bien l’aider à se présenter (comme il le pense de plus en plus, de pigiste à La bas si j’y suis, très bon d’ailleurs, puis rédacteur en chef, réalisateur puis député, pourquoi pas Roi de la France ??), ceci dit, Ruffin n’est pas ma tasse de thé dans son discours mais si je dois choisir comme le moins pire s’il était éligible, ce serait lui quand même (malgré mes méfiances à son égard).
C’est vrai, Mélenchon avec un e, c’est mieux, autant pour moi.
La France Insoumise, c’est un nom de parti génial. Ne lui manque qu’un contenu génial et on ne pourra pas perdre. Pour l’instant, il est plutôt mesquin et sans ressort. Mais ça n’est pas fatal.
Les primaires ont-elles, en France, une quelconque légitimité? Parce que c’est démocratique? Même pas!
Qui vote? Sur quelle base? Qui contrôle? etc,… Plein de questions sans réponses valables. Le vote existe aussi dans les régimes autoritaires, voire totalitaires.
Les primaires n’ont rien à voir avec la démocratie, elles n’en sont que le simulacre.
Elles permettent, au mieux, à des inconnus et des seconds couteaux de venir participer à ce qu’il est convenu d’appeler « un concours de beauté ».
Les chefs de partis ou de mouvements représentent bien plus réellement la réalité des idées et volontés politiques ayant cours car ils ont déjà convaincu la majorité de leurs adhérents et de leurs militants. Les votants des primaires ne font pas un véritable choix politique, Ils élisent, pour de faux, un personnage qui apprend à faire le beau le temps d’une primaire. Il n’y a rien à attendre de bon comme résultat de telles comédies.
C’est aux partis de décider s’ils veulent que la gauche gagne ou perde et comment ils s’y prendront pour y parvenir.
Gagner une primaire ne sert à rien si les partis ne sont pas d’accord pour soutenir tel ou tel programme élaboré, conçu et approuvé par eux.
Le gagnant sans troupe d’une primaire, ne sera jamais que le prochain perdant des vraies élections à venir.
Bonjour,
Vous sombrez dans la démagogie sondagière… Faut-il rappeler ici que 27 sondages sur 27 ont annoncé la victoire du RN lors des législatives de 2024 !!! Cherchez l’erreur !!!
Allez vous sombrer comme vos collègues de france-info (sic) et de france inter dans l’anti LFI à tout prix et surtout à n’importe quel prix ? Qui dans ce jeu de dupes fait le jeu du RN ? Allez encore un petit effort et svous nous expliquerez que Cazeneuve est le meilleur candidat à gauche.
Vous êtes consternants de médiocrité.
Bernard GELLION
Question centrale : comment faire confiance au PS ?
Ils ont trahi de fait une nouvelle fois en refusant de censurer le gouvernement Bayrou et en abandonnant l’abrogation de la réforme des retraites.
Si c’était la première fois, on pourrait légitimement espérer qu’ils apprennent de leurs erreurs.
Mais ce n’est malheureusement pas la première fois…
Et on sait qu’ils n’apprennent rien.
L’union, bien sûr, mais pas sûr n’importe quelle base.
L’union pour l’union, sans accord programmatique vraiment à gauche ne servira à rien.
Sauf à avoir un autre quinquennat Hollande qui tuera définitivement tout espoir de victoire à gauche.
Je rêve que l’aile droite du PS gagne leur congrès.
Ils finiront leur mue à droite toute et rejoindront les macronistes dans un magnifique gouvernement « d’intérêt général », qui « dépasse les clivages », « pour la stabilité de la France ».
Ce serait une belle clarification.
Totalement d’accord avec vous, Mackno ! De toute façon, c’est un secret de polichinelle, tout le monde sait bien que le PS, comme LR, se fondra dans la Macronie. Ce n’est qu’une question de temps….et du prix qu’est prête à y mettre la Macronie….
Une proposition formulée par Daniel COUTANT et dont je crois que nous devrions la porter sans hésiter, dès maintenant, pour y habituer les Français, en sortant du one man show mortifère des présidentielles léguées par De Gaulle IL Y A PLUS DE 60 ANS.
UNE SEULE ALTERNATIVE SERAIT CAPABLE D’EMPORTER LA GAUCHE AU SECOND TOUR. (et plus?)
PRÉSENTER NON PAS, UN CANDIDAT UNIQUE « président », mais PRÉSENTER UN « GOUVERNEMENT » COMPLET : président adjoint d’un gouvernement constitué de TOUS LES PARTIS et MOUVEMENTS de gauche. Cette proposition, introduction à une sixième république, aurait une chance de passer le mur du premier tour et de faire élire la Gauche. (Je viens de voir que Mme Tondelier dit une chose équivalente)
Et ceux qui n’y participeraient pas se seraient exclus eux-même du processus de victoire de la GAUCHE..
SI LA GAUCHE RÉUSSIT CELA NOUS POURRONS (re)COMMENCER À ESPÉRER !
A chaque ministère, une personne reconnue comme compétente et convaincue, le tout autour d’un programme (Avenir En Commun, NUPES ou NFP?) créant un puissant mouvement dynamique pour changer la donne dans notre pays (et en Europe ?…)
Voilà donc ce que prépare le jumelage de Regards et de Politis? Le lynchage de LFI? Heureusement les sondages ne sont pas l’élection .Les élections précédentes l’ont montré et la prochaine le confirmera.. Liliane
Liliane, fais les valises !!