« Si Bayrou échoue, il ne peut y avoir de troisième tentative »

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Frédéric Sawicki, professeur de science politique à l’université Paris-I, est l’invité de #LaMidinale.

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1 commentaire

  1. philippe le 23 décembre 2024 à 11:47

    Salut à vous deux. la partie finale sur JLM et LFI me semble un peu partielle, peut-être partiale. par exemple, Frédéric Sawicki évoque l’hypothèse … ou l’opinion d’une possible dictature mélenchonienne (par la manière du personnage supposai-je) alors même que le programme est/était? effectivement premièrement basé sur la volonté de passer à une VIème Rèp’ dans une volonté de défaire le présidentialisme : qu’un politiste qui semble plutôt de « gauche » comme lui, fin analyste de la situation politique comme il le prouve juste avant, ose cela alors même que nous vivons depuis 7 ans dans un hyperprésidentialisme (qui tend à devenir autoritaire, et à amplifier les tendances historiqus plouto-aristocratiques de notre démocratie bourgeoise), me surprend, m’attriste même. quels sont les arguments Raisonnables qui indiqueraient ou prouveraient un tel risque, une telle projection ? Rien n’estb développé. On doit donc supposer : la manière dont le « parti » LFIste a traité les critiques internes ? cela n’est-il pas aussi vieux que le principe de « parti » et de sa hiérarchisation interne ? est-ce pire et si oui pourquoi / comment? quelle différence avec les partis gazeux eux-aussi le RN ou la « chose-parti » macronienne (En Marche, Emmanuel Macron, Et Moi et moi et moi) ? les exclusions ou mises à l’écart seraient des « signes terribles » à LFI et ne serait « rien » dans les autres partis (LR, Larem, .. et même au PS d’où est sorti le méluche) ? alors c’est le verbe haut qui est un signe de future conduite dictatoriale en la Vème Rép’ en cas de méluche au pouvoir ? cette hypothèse EST TROP GRAVE – pour la gauche – pour être aussi légèrement abordée sans argumentation sérieuse. et me semble aller un peu trop « dans le sens général anti-mélenchonien actuel (le personnage est criticable comme tout personnage politique important, la critique, elle, doit être construite). Aucun de vous deux n’a rappelé le débordement médiatique anti-mélenchonien et anti-lfiste comme si cela ne participait pas aux tensions au sein du NFP et la guerre interne avec le PS (qui sembel de l’ordre à la fois électoral mais aussi affectif entre anciens socialistes). les médias de référence comme ceux de l’info-affect-perpétuel ont en commun une sorte de haine envers le personnage (… qui de la poule ou de l’oeuf? …). l’utilisation perverse de l’accusation d’antisémitisme fait parti de cette guerre anti-gauche radicale menée par les médias, certains intellectuels et les politiques. pas un mot de vous de cette « situation politique » mais vous vous référez bien plutôt un soupçon de caractère autoritaire dansgereux pour la démocratie si l’on vous entend bien. je crois, comme vous, que JLM ne doit pas se présenter aux présidentielles, pour des raisons différentes de vous. mais comme vous je pense (j’espère!) que seul le NFP – gauche plurielle ou diverse – peut faire figure, c’est à dire arriver au second tour des présidentielles et que dans ce cadre là, le « parti présidentialiste » LFI, doit avoir l’intelligence collective de s’effacer au moins pour la figure principale (le candidat) et permettre un retour momentané d’une présidence et surtout d’un exécutif de gauche diverse. peut-être la première mesure pour sauvegarder les équilibres parlements / exécutif / présidence avant même le travail autour d’une 6e Rèp’ serait d’intervertir les dates présidentielles / législatives : d’abord des législatives PUIS la présidentielle qui rendrait moins puissant la présidence, symboliquement et donc politiquement. merci à vous.

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