Samedi 3 septembre, à Moscou, ont eu lieu les funérailles de Gorbatchev. Ni Poutine, ni aucun dirigeant étranger n’étaient au rendez-vous – excepté le Premier ministre hongrois. « L’Histoire a été doublement cruelle à son égard, en l’entraînant dans l’échec, puis en le précipitant dans l’oubli », écrivait dans ces colonnes Roger Martelli. Quatre militants communistes, élus locaux et nationaux, syndicalistes, nous livre leurs souvenirs du dernier dirigeant de l’URSS.
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